Partir d'Annecy, monter au Semnoz par le versant Est avec une vue sur le lac pour compenser l'effort, redescendre à Annecy par le versant Ouest, cela permet de faire une cinquantaine de kilomètres et 1300 mètres de dénivelé positif et, s'il reste des forces refaire la boucle dans l'autre sens.

La boucle montagneuse permet de faire un effort court, avec la forme du moment , 1 col ou 2 pour être dans l'effort, de la diversité comme de bons pourcentages et revenir à son point de départ pour s'arrêter ou continuer. En préparation, cela prend un sens, celui de faire des coins différents, du dénivelé et de s'acclimater à la montagne, un col ne ressemble jamais à un autre, c'est toujours différent

Pas très connu mais tellement beau, le col de l'Oeillon permet d'apprécier le panorama une fois au sommet mais avec une partie du col de la croix de Chaubouret permet une belle sortie

Je rajouterai des photos au fur et à mesure de mes progressions

La préparation est quelque chose de sérieux et pour ne pas se griller en route il fallait que je choisisse bien mes destinations.

Cela a commencé en Haute Loire (43) à Monistol d'Allier, pour commencer souple. Des pentes à 5% c'est bien mais le col de Rossignol a rappelé que, dès le début, des pentes un peu plus pentu c'est bien aussi afin de savoir où j'en étais. 

Cela a continué au col de Turini afin de se rappeler de la difficulté des lieux, Par ses différents versants,  le col du Turini je l'avais déjà  monté 30 fois et c'est en terrain connu que j'ai fais une belle semaine de préparation et, c'était le but ultime,  beaucoup de dénivelé. 

Pour une préparation Embrunman,  il faut que je mange des "2000"  et devant l'affluence, le choix de la ville d'Embrun c'est fait naturellement. Plus de distance, moins de dénivelé mais de plus gros pourcentages étaient au programme. Autour d'Embrun, il y a des routes d'échauffement et c'est bien avant de monter le col de Vars et le col Agnel. Pour le troisième 2000 ce fut les premières pentes de l'Izoard et le village de Les fonts, au-dessus de Cervières par une route pleine d'émotion. Refaire une partie du col du Granon est ce qui m'a fais revenir à Briançon, en 2015 j'avais les cuisses explosées à un peu moins de la moitié de la rampe, là ce fut 2 kilomètres plus haut,  c'est de la préparation mes muscles ont dépassé leur limite,  le Granon reste un col de malade.

Le dernier entraînement est symbolique. Je suis parti a Saint Clément sur Durance pour finir le parcours de l'Embrunman et poursuivre par SteApo par la route des Puys. Fait en 3h30 en m'aspergeant à toutes les fontaines, les 8% mes cuisses n'ont pas appréciées.

A l'orée de ses 3 semaines de préparation beaucoup de choses se mêle dans ma tête, d'images, de rencontres et surtout que l'objectif Embrunman 2024 est totalement d'actualité 

La suite sera de soigner la tendinite au pied gauche et reprendre la course à pied

Voici le résumé de ce que j'ai fais comme préparation pendant 3 semaines,  pour le détail, dès la première sortie une belle montée de 10 kilomètres à 5% m'a amené sur un plateau agricole à 1000 mètres d'altitude 

À Monistol d'Allier, il y a eu 4 sorties validés

La première à Cussac sur Loire, pour y photographier La Loire 

Au Mont Mouchet

Les 100 km

Le col de Rossignol 

La 5e aurait dû être celle du col de Peyra Taillade, au milieu du 14%, plus de force

Au Turini, 4 entraînements validés 

Col de Saint Roch et Peira Cava

Col de Braus, col de l'Orme et Peira Cava

Camari, Madonne d'Utelle, Pra d'Alart

Col de St Martin La Colmiane, Turini

A Embrun 3 entraînements validés (trois "2000") et SteApo

Col de Vars (2109 mètres)

Col Agnel (2744 mètres)

Les Fonts (2040 mètres) -départ de Briançon - sur les pentes de l'Izoard et la moitié du col de Granon 

Et mettre en photo pour le blog et pour Facebook mes différents passages :

Je viens souvent au Col du Turini, à Pâques, en été en préparation Embrunman, à la Toussaint. pour y faire du vélo,  de la course à pied,  des photos. Je m'y sens bien et les efforts consentis sont toujours payant.

Au départ de L'Escarène, Sospel et Lantosque, les 3 versants officiels, il y a toujours la possibilité d'en rajouter. Le col de l'Orme, celui de Saint Roch, l'Authion évidemment 

Au loin, La Colmiane, le Gordolasque, la Madonne d'Utelle garantissent des heures d'efforts en perspective

Ses lacets sont mythique et photogénique, la forêt omniprésente et un calme olympien. 

Le col que j'ai plus escaladé est un "2000" Le col de L'Izoard par le versant de Guillestre mais le col de Turini, ses 3 versants et ses variants est celui où j'ai passé le plus d'heures. Ses paysages, ses lacets et pouvoir courir tranquillement,  les bras écartés, en direction de La Bollène Vesubie, de Luceram et l'Authion. 

J'y reviendrai, c'est certain.

Barcelonnette est entouré de cols de plus de 2000 mètres de hauts

Le col de la Bonette est le plus haut, le plus haut d'Europe

Triathlonnature Jausiers/Bonette est un jeu, un jeu serieux :

nager dans le lac de Jausiers

Monter en vélo au col

courir à deux mille sept cent et quelques autour de la boucle qui monte à la stèle

Le col de Braus mérite un article tant il est mystérieux, beau avec tout ces lacets, son altitude dans une région Azuréenne où çà monte très très haut et aussi parce qu'il est difficile, un vrai col de montagne

Du haut de ses 1002 mètres, le col de Braus regarde d'en bas le col du Turini (1607 mètres), le Boréon et son parc au loup ainsi que le Vallon de la Gordolasque et la Madonne de Fenestre, les trois étant autour des 1900 mètres. Le col de la Lombarde, par Isola 2000, est à 2350 mètres et la route asphaltée la plus haute d'Europe est à 2807 mètres, il s'agit bien sur du col de la Bonette. Le département des Alpes Maritime est étonnant car il a empilé du sud au nord des cols de plus en plus haut.

Mais le col de Braus n'est pas un petit col, bien au contraire. Dans la rocaille, en plein cagnard on le retrouve dans des revues cyclistes et photographique pour ses lacets mythiques qui, passé à l'extérieur font un pourcentage doux et à l'intérieur un pourcentage dur.

Tout seul on peut le classer en haut des cols intermédiaire comparable à ce qui se fait en Auvergne, l'Ardèche et aussi les Vosges. Toujours Embrunman dans l'âme, dans une journée il prépare à de longs dénivelés, avec le Turini, par le col de l'Orme, on peut en faire beaucoup, ce col, quasiment le premier en sortant de Nice, a sa place dans une préparation, un périple.

J'aime ce col car il n'est ni long ni court, il monte bien, son panorama est comme le haut du ventoux, beau dans son enfilade de lacets et tellement calme.

J'avais besoin de revenir dans les Pyrénées et comme d'habitude je suis parti dans des villes et des cols pas très empreinté, loin des routes balisées.

La première base est de trouver un sommet à 2000 mètres car ce sont des cols souvent hors catégorie, çà monte long, en haut c'est un régal, la descente est magique et c'est encore mieux quand il y a un barrage. En randonnée çà permet de faire une pellicule.

Je n'étais pas en préparation, çà change, et donc partir à la boussole était la solution pour faire beaucoup de cols et les panneaux ci-dessous montre, une fois de plus, qu'il ne faut pas aller là où tout le monde va. çà peut paraître exotique mais çà ne l'est pas, la richesse vient de la diversité des lieux et pas besoin de faire Aspin/Tourmalet, il y a tellement plus intéressant.

Cet article je le dédie aux besogneux, aux femmes et aux hommes qui s'épanouissent dans la difficulté.

Sur un triathlon on passe beaucoup de temps sur le vélo, surtout s'il y a de la montagne, et en Maurienne il y a de quoi faire en vélo et les centaines de cols que j'ai escaladé m'ont fait choisir cette destination parce qu'il y en a partout et souvent à 8% et plus.

J'aurai pu appeler cet article "Maurienne" mais je l'ai appelé "Juillet" car la profusion de cols dans la région et surtout les gros pourcentages sont légions et de manière répétées mais en juillet les journées sont longues et enchaîner 4 cols sous un soleil radieux est ce qui se fait de mieux et les gros pourcentages avant les gros triathlons tel que l'Embrunman. Les cols en Maurienne sont magnifiques et tant qu'à faire d'être dur autant qu'ils soient beaux. 

Tout le monde connaît le col du Télégraphe, celui du Galibier et il est difficile d'y résister pourtant enchaîner les cols, plusieurs par jours servira à bien se préparer et s'acclimater. A un moment il faudra penser à rentrer et repartir les jours suivant afin de s'offrir la multitude de possibilité qu'offre la région.

Le col du Mollard puis celui de la Croix de Fer et le Glandon permet de faire une boucle avec plus de 2000 mètres de dénivelé mais rajouter une station de ski, un village perché, permet de se rapprocher d'une distance Ironman et d'un dénivelé monstre et en juillet cela prend tout son sens car l'effort est là et on en prend pleins les yeux surtout avec le soleil au zénith.

Les Lacets de Montvernier sont connus, sont magnifiques, sont compliqués également mais ils sont surtout une destination incontournable. Avec le col du Chaussy au-dessus et celui de la Madeleine encore au-dessus, c'est un pur plaisir en seulement 40 kilomètres. Au petit village de Le Chatel, après Hermillon, avec un bon appareil photos, les lacets de Montvernier peuvent se faire photographier du fort en forme de cube.

8% est un pourcentage assez courant dans les cols que les triathlètes "longue distance montagneux" arpentent. Le col de l'Izoard, le Port de Pailhères, le Mont Semnoz et biens d'autres sont escaladés sur des triathlons connus. La Maurienne a tellement d'ascensions difficiles que les faire tous devient un exercice de style ou c'est que vous êtes très très fort et comme l'Izoard, le Port de Pailhères, le Mont Semnoz, les 8 les 10% reviennent inlassablement dans les cols, montées, ascensions en Maurienne.

Je suis donc parti de Saint Jean de Maurienne pour escalader des cols et plus j'en cherchais plus j'en trouvais. La départementale D1006, permet de s'échauffer et on est content de s'extraire de cette départementale routière pour monter en haut, Avant la fin du séjour je partais courir tôt le matin car, à la longue, la D1006 était devenue pénible, il faudra planifier aussi son échauffement, autant que ses sorties, indispensable avant d'affronter les cols.

• Le Thyl est un village perché au-dessus de St Michel de Maurienne, le pied part d'une magnifique place colorée, après çà monte à 8%.
• A un peu plus de 2000 mètres d'altitude, le Barrage du plan d'Amont est un site sauvage au dessus d'Aussois et de Modane et le départ se fait de la rivière "l'Arc" par un pont en pierre. Jusqu'à Aussois c'est bien après c'est 9%
• Pour les plus téméraire le col de l'Iseran et ses 2764 mètres sont dans la continuité mais c'est à 90 km de St Jean de Maurienne, pour l'acclimatation à l'altitude ce col est génial. Plus proche, de Lanslebourg, le col du Mont Cenis avec ses 10 km à 7% permet de faire une belle journée, le sommet étant à 65 km de St Jean de M.
• Montdenis, de St Julien Mont-Denis, est une petite ascension de 11 kilomètres mais comme il n'y a que peu d'abri sous un soleil de juillet l'ascension devient une montée ultime, difficile, 7% de moyenne avec des pics à 10%, peu de répit, en fin de journée avant de rentrer à l'hôtel, si vous êtes fana du sauna préférez 14h, bien cuit.
• La Maurienne est une montagne difficile et si on cale on peut rater des panoramas extravagant. Le Chalmieu, après le col du Mollard et avant celui de la Croix de Fer, sur la route de Montrond, est étonnant. On frôle les 2000 mètres, la petite maison en bois avec sa grande antenne satellite au sommet, ses champs vert d'une verdure resplendissante, et ses enclos de vaches, amène un côté bucolique à la montée. Sinon après avoir pris la petite route sur la gauche, dans la descente du col du Mollard, c'est 9% pendant 8 kilomètres, les vaches et veaux comme compagnie.
• Une station de ski c'est souvent une route large et des chalets en haut, la Maurienne, et autour de St Jean de Maurienne, dénote plusieurs stations, elles s'appellent Les Karrelis, Valmeinier, la Toussuire. Mais, quelques fois, on se perd dans une petite route qui part telle une rebelle qui veut nous emmener ailleurs vers un site majestueux. Albanne fait parti de ses offrandes qu'il ne faut absolument pas rater. La station des Karellis c'est sérieux et sans répit et son kilomètre à 12% de moyenne est là pour nous rappeler que l'on est bien en montagne. Après Montricher-Albanne continuer jusqu'à la station des Karellis est logique, on est dans l'effort, mais à la sortie, sur la gauche, une petite route invite à la réflexion. En redescendant des Karellis, je vous conseille cette petite route et même s'il ne reste que peu d'énergie, l'effort en vaut la peine, çà monte dru quand même. En face des antennes, certainement dans le col du Télégraphe attire notre curiosité, le village d'Albanne étant plein de surprises...
• Ma curiosité de photographe m'a fait défaut et j'ai voulu savoir ce qu'était ces antennes en face d'Albanne. Je n'avais pas prévu de monter les 12 kilomètres à 7% du col du Télégraphe et comme on m'avais dis que c'était certainement un site militaire interdit au curieux... je suis donc monté à Valmeinier, pour voir si on voit ces antennes dans la montée. Valmeinier est plus doux avec seulement quelques passages à 8% ! et visiter la station. Des chalets en pins, en chêne, à moins que ce soit du bouleau, des escaliers, des téléskis à flancs de collines et un parking où j'aurai dû m'arrêter à l'aller pour y faire la photo mais la brume, au retour, avait recouvert les montagnes. Mais la station vaut le coup, elle permet de continuer dans les 8% tout en étant plus souple, les 16 kilomètres d'ascensions permettent de faire du long et la descente de la station et du col du télégraphe sur une route large sont bien pour être "tranquille" dans un col. Ce n'est pas une première monte ni encore moins une route d'échauffement de substitution de la D1006 mais en début de séjour ou en fin c'est une bonne montée, au milieu les villages perchés sont beaucoup mieux.
• La Toussuire est aussi une station et il y a plusieurs accès mais en plus d'être long, 20 kilomètres, les 10% reviennent souvent. A faire absolument même si c'est pas forcément facile de placer cette ascension, en fin de journée avant, comme moi, de redescendre à St Jean de Maurienne pour se restaurer.
• Le tour ne serait pas complet si je ne vous parlais pas de Fremezan, du col des Balmettes et du lac : j'étais venu il y a longtemps en Maurienne et, par hasard, j'avais découvert Fremezan. Sur la route du col du Glandon, 20 kilomètres à 7%, dans le village de St Colomban des Villars, une route part sur la droite en direction de l'église et monte. La route était pas génial et à l'heure où je vous écris je ne peux vous en dire plus mais 10% de moyenne pendant 8 kilomètres m'avais marqué et comme j'aime ces petites routes escarpées et vous les fait souvent vivre, je ne pouvais vous cacher cela, je me souviens que la descente avait été longue, pas autant que la montée, mais aussi terrible.

2 semaines, c'est ce qu'il faut pour tout faire et les villages perchés amènent un côté humain à ce périple, il ne faut pas se leurrer la Maurienne c'est dur très dur. J'étais tout seul dans Valmeinier et c'est ce que je recherchais, en bas, la circulation, tous ceux qui vont au Galibier via le col du Télégraphe perdent cette ascension calme et la station est belle, çà change comme un barrage au dessus de 2000 mètres au-dessus de Modane, le plan d'amont par sa petite route est stupéfiante. Il y a du connu et tant à découvrir mais, après, il faudra se reposer afin de faire une belle saison de triathlon, ce qui est certain c'est que la préparation sera sérieuse principalement si elle est bien planifier, bon courage, et faite tout si vous en avez la possibilité.

Les lacets de Montvernier  mérite son article, voici son lien direct, c'est beau en bas, au milieu et en haut :

http://triathlonnature.over-blog.com/2018/06/les-lacets-de-montvernier.html

A moins d'une heure de Nice, Saint Martin-Vésubie

J'ai appelé cet article "Juin", comme toujours c'est l'Embrunman qui est visé mais les triathlètes qui font l'Altriman et même l'Ironman Nice peuvent venir à Saint Martin-Vésubie, les cols sont beaucoup en aller-retour, quelques fois long, quelques fois avec de bons pourcentages mais tous permettent de faire des séries de cols, c'est pour cela que cette destination peut se faire dès Juin et de s'arrêter quand cela devient difficile, sur une semaine il est compliqué de tout faire et donc je me mets à votre disposition pour vous orienter et choisir avec vous ce qui est le mieux.

En haut de cet article, et en bas, vous trouver des photos de tous les cols et il y en a beaucoup.

Le col de Turini fait parti de ces cols méconnus, certainement parce que le Tour de France n'y passe pas, qui a tout les atout pour une préparation montagneuse et donc des triathlons difficiles. Lantosque à l'ouest, l'Escarène au sud-ouest et Sospel au sud-est sont les pieds. Entre l'Escarène et Sospel se trouve le col de Braus et ses lacets sont bien connus des photographes mais c'est un col fascinant aussi et ses passages à 15% sont là pour rappeler que ce petit coin est surtout sportif. En haut du col de Braus une route part vers le nord pour rejoindre Lucéram et le sommet du Turini.

De Lucéram on peut escalader le col de St Roch et continuer l'escalade pour revenir à Peira Cava également par le versant de l'Escarène. On peut faire du kilométrage, des boucles donc via le col de Braus et celui de St Roch mais c'est surtout le dénivelé qui sera important et aussi les pourcentages.

Le versant de Sospel est un piège et il est difficile de ne pas rentrer dedans. Jusqu'au Moulinet c'est facile et beau, après c'est tout aussi beau mais c'est tellement prenant par l'effort que l'on regrette, souvent, d'avoir rouler dans la partie facile. De Sospel le col est coupé en deux à 4% pendant les douze premiers kilomètres et à 8% les douze suivant. Le détail ne serait pas complet si, pour celles et ceux qui en font toujours plus, l'Authion n'était pas cité. C'est la touche finale, l'arrivée au sommet et les pourcentages hallucinant pendant quelques kilomètres.

Qui connait Bairols, Clans, Millefonts et même le col de la Sinne ? Additionné les uns aux autres permet de s'acclimater à la montagne car ils ne sont ni très long ni insurmontable, en les couplant on peut faire des heures sans jamais être très loin de Saint Martin-Vésubie et sa vallée.

Le Boréon, la Madone de Fenestre, le Vallon de la Gordolasque sont à classer parmis les plus dur ascensions du coin et s'il est difficile de tout faire ils peuvent se faire en Juillet.

Au loin le plus difficile, le col d'Andrion, au retour La Madonne d'Utelle et la boucle sera bouclée.

La Croix Pater est une route spécifique de quatre kilomètres dans la forêt de Rambouillet. Pour rejoindre la fameuse, trois ascensions, la dernière à 10% et une belle ligne droite pour finir.

C'est mon petit coin, j'y suis allé souvent en 2015 pour ma préparation à ce que fut mon plus bel EMBRUNMAN, une histoire de dingue, un petit coin où j'aime revenir. 

Mais, forcément, les Bretons, les Basques et les amis lointains ne vont pas se fader 800 kilomètres pour faire une ligne droite de quatre kilomètres même si je fais les photos argentiques.

Donc je vous conseille de vous trouver votre petit coin avec une belle montée, une longue ligne droite sur le prolongateur mais aussi un barbecue amovible dans le coffre et la glacière avec le pack de bière dedans, pour apaiser les crampes, pour après.

Et je viendrai faire les photos...

A bientôt

Voici quelques photos d'Embrun et du parcours de l'Embrunman pour vous faire une idée des lieux magiques que vous allez rencontrer